26 avril - Avril : l'après-rupture : savoir communiquer
Par | Le 26/04/2019 | Commentaires (0) | Un an pour prendre soin de vous
26 avril
Avril : l'après-rupture : revivre - Savoir communiquer
Communiquer suppose aussi des silences, non pour se taire, mais pour laisser un espace à la rencontre des mots. Jacques Salomé
N’oubliez pas que votre façon de communiquer est le miroir de vous-même. Par exemple, si vous êtes adepte de la logorrhée, c’est que vous ne laissez pas de place aux autres dans votre vie.
Aussi chacun n’a pas les mêmes compétences relationnelles. Quelques-uns auront une élégance relationnelle, c'est-à-dire qu’ils sauront garder leur sang froid face à l’agressivité alors que d’autres ne peuvent fonctionner que par l’agressivité.
Sachez que l’amabilité est l’une des clés d’une bonne communication. Cependant, même si vous avez de belles manières il est parfois des situations où vous serez excédé et quoi de plus normal que de céder à l’exaspération, au découragement, à la frustration. D’un côté nous avons les vitamines mentales, les joies, plaisirs, petits et grands bonheurs, satisfactions, émerveillements et autres joyeusetés agréables qui embellissent nos vies et entretiennent notre formidable bonne humeur.
De l’autre, les emmerdes, les épreuves, les aléas, les agacements, les inquiétudes, les souffrances, douleurs et peines qui plombent nos journées, donnent une sorte de dimension tragique à nos vies et nous poussent à imaginer de beaux lendemains dans des ailleurs lointains, tièdes et sereins.
Et curieusement ces deux catégories de sentiments et d’émotions, nous les exprimons peu. Car exprimer la joie, l’enthousiasme, l’émerveillement continue à susciter les regards suspicieux, même dans une société qui pourtant prône la passion. Ce serait des réactions ou des penchants infantiles et révélateurs d’un esprit trop jouisseur pour rentrer dans la catégorie des gens sérieux, des adultes. Un peu d’enthousiasme, ça va, trop d’enthousiasme et vous voilà projeté dans le monde des bisounours ou comble de l’horreur, vous seriez un optimiste.
On n’avait déjà pas beaucoup le droit de s’émerveiller ou de se faire plaisir, voilà que maintenant on vous freine dans votre joie de vivre ! Dites non ! Ne vous empêchez pas de vivre ce que vous voulez vivre.

Un an pour prendre soin de vous